Thaddeus et le NGrall nouveau roman de Sylvie Orsini

Bonjour !
Je remercie sincèrement toutes celles et ceux qui, après la lecture de mes romans, prennent le temps de me faire part de leurs impressions.
J’apprécie ces marques d’intérêts qui encouragent et fortifient la « jeune auteure » que je suis. Je réponds toujours à ces courriels, lettres ou messages téléphoniques ; même si je le fais parfois avec un peu de retard. Comme vous pouvez l’imaginer, il y a toujours l’appréhension tapie derrière l’auteur après la naissance d’un ouvrage. Alors, s’il vous plaît, n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires quels qu’ils soient.
Bien cordialement,
Sylvie Orsini

Sylvie Orsini

Extraits

Ce n’est qu’après un énième virage que Nadejda aperçut, érigé entre les arbres, le panneau indiquant en grandes lettres brunes cernées d’or, le nom du Domaine.
Elle tourna la tête en direction de son chauffeur, les yeux ronds, affichant un air interdit.
Devinant sa pensée, Rodolphe sourit et précisa :
– Pour ce beau rouge du Valinco, l’un des vins des plus réputés de la région, vous conviendrez que l’appellation : « U Capaccione fiuritu » n’était pas assez évocatrice de sa robe de velours, qui titille le palais et glisse dans la gorge en distillant toute la douceur et les arômes d’un cépage né près de la mer.
Alors, levant les verres vers le soleil, et faisant scintiller sa touche rubis et de nacre violine, on rebaptisa le Domaine à l’unanimité, il y a une quarantaine d’années, « Pèrla d’Ànghjulu », et depuis, il arbore fièrement son étiquette ronde surmontée d’une étoile d’azur sur les plus belles tables de France.
– Choix imagé. Ce vin porte un nom tendre, mais très séduisant.
– Tout aussi séduisante que vous l’êtes, Nadejda. C’est la première fois que je vous vois porter une robe et je dois reconnaître qu’elle ne fait que sublimer votre silhouette.

Lire la suite d’un extrait de Coeur de Schiste

Le ton narquois de son père était blessant mais elle ravala sa salive tentant de ne pas laisser transparaître son soudain désarroi. – Et où comptes-tu aller, dis-nous ?
Elle avait lancé cette phrase en l’air comme ça, plus pour fermer le clapet à son père que par conviction, sans vraiment mesurer la portée de ses mots, mais, comme si c’était un signe du destin, au même moment, défilaient, sur l’écran télé, des images de rêve, hautes en couleurs, celles d’une destination touristique, accompagnées de chants envoûtants. C’est alors qu’elle se souvint des paroles d’Olga ” … construis ton propre univers, plus serein, plus coloré…
” Sa décision était prise. Elle se sentit bien, soulagée, libre et détendue, ce qui eut pour effet de dessiner un joli sourire sur ses lèvres lorsqu’elle s’exclama :
– En Corse ! …

Lire la suite d’un extrait de Bain pour Deux à Baracci

En rouvrant les yeux, il eut soudain l’impression de se retrouver dans un tout autre monde, au paysage terne, presque lunaire, où la palette des couleurs, délavée, avait viré subitement au gris.
Cependant, à un endroit des plus inattendus, proche du sommet de la tour en ruine, subsistait une petite touche colorée qui attira immédiatement son attention. …

Lire la suite d’un extrait de Le soleil se couche sur Erbalunga

Jacques, désemparé, ne savait plus trop où aller dans cette ville qu’il connaissait pourtant bien. Il avait le sentiment d’être perdu. Il fallait cependant reprendre le chemin de la maison. Sylvain attendait certainement son retour avec anxiété…

Lire la suite d’un extrait de Et si vous disparaissiez ?

À une bonne encablure du port, la pilotine paraît s’accrocher comme une sangsue à la coque du navire dont les puissants moteurs frémissent à peine. Quelques volutes noirâtres s’élèvent des grandes cheminées, dispersées lentement par la brise de terre. La “bête” ouvre alors son ventre,…

Lire la suite d’un extrait d’Un lys dans la brume

Covent Garden tenait son nom du jardin d’un ancien couvent : l’Abbaye de Westminster, depuis longtemps disparue ; il s’agissait d’un véritable chef-d’œuvre architectural devenu, au siècle dernier, un marché couvert ; ces superbes halles aux structures en fonte avaient été conservées et abritaient maintenant toutes sortes de boutiques, restaurants et cafés. Gens chics du quartier et touristes branchés affluaient vers ses bars fabuleux, ses élégants petits restaurants et ses magasins tendance. Ils étaient friands des événements culturels qui s’y produisaient et les initiés étaient incités à y revenir encore et encore.

Lire la suite d’un extrait de Derrière toi, le son d’une voix…

Le soleil se couche sur Erbalunga
Le soleil se couche sur Erbalunga
Bain pour deux à Baracci
Bain pour deux à Baracci
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